Deuxième album Boom Bap, Boom Bap, Boom Bap. Voilà que résonne en nous cette boucle de batterie. Le son de la grosse caisse et de la caisse claire. Boom Bap, Boom Bap, Boom Bap. Ce bon vieux son “old school” en provenance de la côte est américaine des années 80-90....
Résilience Le premier album de Maudits nous avait énormément plu. Le groupe revient avec son successeur, et le moins que l'on puisse dire est qu'il ne nous déçoit en aucune façon. Presque exclusivement instrumental, il délivre sa sensibilité en à peine 36 minutes pour 5 titres. Tristesse, mélancolie, une certaine...
Dans la hotte du Père No Hell !!! Nous sommes en pleine période de fin d’année, et par conséquent de Noël. Le sapin est bien garni dans le salon, les marchés de Noël pullulent dans chaque ville et ça sent le mauvais vin chaud…ah la féérie de Noël et du...
La légèreté de la pureté. L'album commence sur un arpège de guitare sèche. La voix se greffe sur ce thème répétitif, évoquant un petit peu la musique de nos rêves, celle qui se répète inlassablement et qui est à même de nous transporter vers des havres de paix intérieure. En...
Premier album disponible chez Flippin' freaks Records Voilà une chronique qui risque de faire grincer des dents. Pourquoi? Certains pourraient dire, ouais, un chroniqueur bordelais qui fait un papier sur un groupe bordelais, ouais.. bla bla bla. Nous n’allons pas vous mentir, nous sommes toujours euphoriques de parler d’un groupe...
Disponible chez Crème brûlée records/Beast records Maxwell Farrington, c'est un nom qui circule pas mal depuis quelque temps. Outre ses collaborations diverses et variées, comme avec Pandapendu par exemple, il a sorti un disque en duo avec le Super Homard (ce qui est marrant, parce que Maxwell Farrington est cuistot,...
And the city woke up alone (disponible le 10 décembre chez A tant rêver du roi). Sol Hess a sorti son premier album solo en début d'année. Il surfait sur une vague acoustique aux teintes folk parfois crépusculaires, parfois lumineuses, toujours à la lisière du punk (le chant surtout), et...
Shoegaze à la française. Tout commence par un visuel, genre clair obscur, réaliste, sans fard mais pudique. Un tableau de famille en somme, à l'éclairage bien dosé, à l'arrière-plan sombre, comme une métaphore de La chute, un disque lumineux qui recèle ses parts d'ombres. Au dos, la même prise de...
Originelle. Il y a des disques qui s'écoutent d'une oreille distraite. Il y ceux qui ne s'écoutent pas du tout. Et puis il y a ceux qui ne nous lâchent pas d'une semelle, comme si nos tympans étaient directement soudés aux microsillons d'un vinyle au son craquant comme le feu...