[ MOT DE LA FIN ] DAVID LE GOLVAN, un mois étrange.

Mars, un mois étrange, pour un auteur qui ne l’est pas…

Et nous voici déjà au terme du mois de mars. Quand nous disons enfin, c’est juste que ce mois nous a paru incroyablement long. Ceci n’est absolument pas du fait de la présence de David Le Golvan (dont voici le mot de la fin) parmi nous. Bien au contraire ! D’ailleurs, nous lui en sommes reconnaissants car il nous a permis de vivre ce mois de façon encore un peu plus stressante.

Pourquoi ?

Parce que ses romans, notamment Les appelants et La rondette sont bien flippants. Nous vous invitons bien évidemment à les lire, vous comprendrez mieux de quoi nous parlons. Mais trêve de blabla, nous voulions surtout vous dire que si les personnages principaux des romans de David Le Golvan sont des êtres au mieux antipathiques, au pire proche de la psychopathologie, l’auteur, lui, est une personne qui nous semble être tout le contraire, à savoir qu’il s’agit de quelqu’un de posé, d’humain, qui plus est bourré d’un humour que l’on devine à la fois dans ces bouquins, mais également dans ces propos (comme quoi, tout n’est pas toujours à prendre au premier degré, y compris dans les/ses livres).

Autrement dit, il nous paraît être l’exact opposé de ses « créatures ». En cela, une fois de plus, nous pouvons affirmer qu’il ne faut pas confondre l’auteur avec son œuvre, même si, parfois, il laisse des fragments de lui, forcément, disséminés à droite à gauche. Mais chut ! Tout cela, vous pouvez le découvrir en lisant ses romans.

Bien entendu, nous vous tiendrons informés de la suite de ses aventures littéraires, et nous précisons d’ailleurs à ce sujet que si vous êtes éditeurs, et que vous voulez suivre un auteur sur du long terme, David Le Golvan vous recherche lui aussi !

Le mot de David Le Golvan.

«  Merci à Litzic et à tous les passionnés, chroniqueurs, « petits »  éditeurs»  et lecteurs- aventuriers, qui font  sortir de l’ombre des écrivains et des musiciens tout aussi passionnés.
Allez, dans ces temps de repli sur soi, mes petits conseils de lecture :
L’intégralité des romans de Leo Perutz pour s’évader vers un ailleurs
L’Archipel du Goulag de Soljenitsyne  (version abrégée chez Seuil) pour relativiser l’épreuve du confinement.
Propos sur le bonheur d’Alain pour méditer.
La mondialisation heureuse d’Alain Minc pour bien rigoler »

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Lire le portrait de David le Golvan ICI

Relire la nouvelle Narcolepsie ICI

Lire la chronique d’Un commerce équitable ICI

Lire la chronique de Les appelants ICI

Lire la chronique de La rondette ICI

Retrouvez la première partie de l’interview ICI, la partie II ICI et la partie III ICI

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