PHILIPPE SARR Le mot de la fin

Travailler avec Philippe Sarr a été un véritable plaisir. Nous ne vous le répèterons jamais assez, allez découvrir son univers à travers tout son dossier, qu’il s’agisse aussi bien de sa nouvelle Les habitants du périphérique, de son interview ou même des chroniques de ses deux romans. Cet ensemble vous permettra d’essayer de saisir qui est cet auteur talentueux et de quoi regorge son univers.

Nous voulions également remercier Messieurs Luc Eyraud (la p’tite hélène éditions) et David Laurençon (crispation éditions), l’un pour nous avoir fait connaître l’univers de Philippe via Tagada, l’autre pour nous avoir permis de découvrir son premier roman Les chairs utopiques (eh oui nous avions commencé par la fin). Votre travail d’éditeur et l’amour que vous portez à vos auteurs est preuve de qualité (entre autres choses).

Nous laissons désormais la parole à Philippe avec son mot de la fin, en le remerciant une dernière fois d’avoir eu la gentillesse d’avoir bien voulu se prêter au jeu de l’auteur du mois.

On n’en sait jamais assez sur un auteur. Alors, à ceux qui désireraient en savoir plus sur moi je dirai surtout: lisez donc « Les chairs utopiques »  et lisez « Tagada », deux romans publiés chez « Crispation» et « La p’tite Hélène » éditions. D’abord parce que ce sont deux super romans publiés chez deux maisons hyper cool faisant indéniablement du bon boulot – la preuve avec ces deux bouquins, donc – et parce qu’elles défendent toutes deux une certaine forme de « bibliodiversité» absolument essentielle à une époque aussi « hyper » normée que la nôtre. Pour s’en convaincre, il suffit de jeter un œil à leur catalogue : vous n’y trouverez certes pas de noms ni de titres ronflants (suivez mon regard !), mais des auteurs talentueux qui, pour la plupart, ont la niaque et n’ont personnes sur qui compter (à part eux mêmes) pour se coltiner avec les mots. Rien que cela devrait suffire pour que l’on s’intéresse à eux. Et pour cela, il suffit de se rendre sur les sites de ces éditeurs !

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