ALYS H.WOODS Le mot de la fin
Nous vous laissons avec les mots d’Alys H.Woods, mots qui parlent d’eux même. Nous la remercions pour son implication dans ce mois de novembre qui fut le sien, nous la remercions également pour sa gentillesse et son dynamisme, pour son talent et sa bonne humeur. Ce fut un plaisir que de travailler avec cette auteure pétillante ! Merci Alys !
Merci !
Merci à Litzic, merci à vous tous. Merci à ceux qui ont lu, ceux qui n’ont pas lu, mais qui ont vu. Merci à ceux qui ont commenté, ceux qui ne l’ont pas fait, ceux qui ont aimé et ceux qui se sont simplement abstenus. Merci.
Merci à https://www.laptiteheleneeditions.com/boutique/ventena-alys-h-wood-souscription.html.
C’est à vous tous que je dois le succès qui est le mien.
Chaque jour passé, chaque instant devant mon écran, chaque espérance injectée dans les mots que vous avez lus, que vous lirez, chaque seconde, tout ce temps est l’aboutissement lent et patient d’un rêve longtemps tapi contre les parois d’une tête trop pleine de fictions. Ce rêve est séquencé de nuits blanches, transporté par l’amour des mots, le plaisir de raconter, de faire vivre, d’être au plus près de vous. Je partage avec vous ce rêve, ma passion, mon univers. Comme vous, je suis faite de bonheurs et de peines, de vents contraires, d’amour, de simplicités, d’émotions, d’une certaine fierté. De chair et de sang.
Alors voilà.
Comme mot de la fin, j’ai choisi un poème :
Si je pouvais t’offrir le bleu secret du ciel,
Brodé de lumière d’or et de reflets d’argent,
Le mystérieux secret, le secret éternel,
De la vie et du jour, de la nuit et du temps,
Avec tout mon amour je le mettrais à tes pieds.
Mais moi qui suis pauvre et n’ai que mes rêves,
Sous tes pas je les ai déroulés.
Marche doucement car tu marches sur mes rêves.*
-
« Yeats », William Butler.
