Quelques mots 22-4, Annonces, concerts, entretiens, festivals…

annonces, concerts 22-4Quelques brèves et annonces.

Petite sélection de dates à retenir, annonces de spectacles, concerts et mini chronique d’un polar. En quelques mots 22-4, c’est parti !

Festivals !

L’époque des festivals s’ouvre. Nous en notons deux qui auront lieu en Côtes d’Armor. Tout d’abord, Le festival Andel’ir revient cette année avec de bien belles propositions. En effet, nous retrouvons les inoxydables Ramoneur de Menhir (il faut les voir au moins une fois dans sa vie!), Rakoon et les excellentissimes Fabulous Sheep ! Tout cela se déroule à Andel, proche de Lamballe, et c’est ce week-end (13 & 14 mai).

Outre des tarifs attractifs, la programmation s’avère très ouverte et tout le monde devrait y trouver matière à faire la fête en toute décontraction !

Plus d’infos

On évoque aussi pour vous le festival ZikaRoz qui prépare à sa troisième édition qui aura lieu les 27 et 28 mai prochain. Ce jeune festival, ayant lieu à Quintin, réunira entre autres The Blue Butter Pot, Smooth Motion, Maracujah et Iwishiwasa. Comme pour Andel’ir, les tarifs sont très attractifs, alors pourquoi se priver ?

Plus d’infos

Concerts !

Le 13 mai, à Binic, au bar Le chaland qui passe, se produira Full Moon Little House. Après deux jours de résidence à La Grande Ourse où le combo a peaufiné son son, l’heure des concerts a sonné. Car en effet, après cette date costarmoricaine, le groupe prendra la route pour Paris et L’alimentation Générale (le 14 mai) où ils joueront en compagnie de Panda Pendu (autre formation costarmoricaine. Le 21 mai, nous retrouverons également le groupe à Pleurtuit pour le Delta Live (tremplin) dans lequel se produiront également Leonor Bolcatto et Les Cromiqueurs.

Le 15 mai, à 18h, à La Serre de Saint-brieuc se produira Prince Ringard. On vous a parlé de son dernier album en date, Rue des chats perchés, et de son roman Carnet de route d’un déglingué. L’occasion est donc trop belle de rencontrer cet artiste cash et généreux dans un cadre des plus atypiques !

Le label Les disques normal fête ses 15 ans. Cette petite sauterie se déroulera à Rennes, au Jardin Moderne, et proposera des concerts forcément indispensables. Parmi les artistes présents sur 2 jours nous retrouverons, le 2O mai : Arianna Monteverdi, Blue haired girl, Julian Angel et Tycho Brahe dont nous ne nous sommes jamais remis du magnifique Le temps qui passe, œuvre d’une sensibilité et d’une poésie rares. Le 21 mai, c’est The Missing Seasons, Les Marquises (à voir absolument ! La battue, leur dernier album en date, étant, à notre avis, l’un des trois meilleurs disques de l’année 2020), A movement of return et Fiascø.

Billeterie

Entretiens.

Petit clin d’oeil sympathique à l’adresse de notre autrice du mois d’octobre 2021, à savoir Cartographie Messyl, qui se livre avec bonheur à Maria Izabel Zamora Yusti dans un reportage en 3 parties dont voici la première.

Nous aimons particulièrement ce format et cette ambiance très amicale, qui prend son temps et qui permet les digressions, les à-côtés qui en révèlent beaucoup sur l’autrice et poétesse. À découvrir aussi l’entretien de Philippe Sarr (auteur du mois en octobre 2018) autour de ses Chairs Utopiques. Tout cela se trouve sur la chaine Youtube Aux courants du monde ACM

Acquérir Fractale et j’ai le ventre rond de toutes ces enfances

Roman.

Nous terminons cette sélection avec l’évocation du dernier roman en date de Delphine Bilien dont le précédent Éléonore sous l’orage de la révolution nous avait plus que séduits. On quitte la Bretagne de 1789 pour l’Anjou de nos jours, où une nouvelle recrue dans la police est chargée de résoudre une enquête peu banale. Des rats ont en effet été libéré dans une grande surface à l’approche de Noël et ont semé la panique parmi la clientèle. Cet événement de petite délinquance masque pourtant un drame sur le point de se dérouler.

Mêlant enquête policière et ésotérisme religieux, Delphine Bilien nous montre une nouvelle fois tout son talent à nous embarquer dans une histoire et de n’en ressortir qu’une fois le livre terminé. Dès les premières lignes, nous sommes littéralement happés dans cet univers troublant, où l’anecdote conduit au meurtre, sans pour autant sombrer dans le cliché ou le déjà lu, malgré les codes du polar respectés en tout point. Les pages se tournent d’elles-mêmes et nous entraînent au fond de l’âme humaine et de ses croyances. La fin, quant à elle, nous laisse sur la possibilité d’une suite (on croise les doigts pour que celle-ci survienne rapidement).

Meurtre en Anjou, le parfum de l’amande, est paru chez Legestenoir

soutenir litzic

Pour faire en sorte que litzic reste gratuit et puisse continuer à soutenir la culture

Nous retrouver sur FB, instagram, twitter

 

Ajoutez un commentaire